Vous n’avez pas été sage cette année ? N’espérez pas vous en tirer comme ça. Si le Père Noël sait faire preuve de tolérance envers les garnements, ce n’est pas le cas d’autres créatures terrifiantes qui rôdent dans l’ombre durant cette période de fête. Enfermez-vous à double tour la nuit de Noël, car ces êtres surnaturels sont déterminés à vous faire regretter tous vos méfaits.

Maisons saccagées et morceaux de charbon

Commençons en douceur avec le Nisse, ou Tomte, un gnome facétieux bien connu dans les pays scandinaves. À l’origine, cette créature du folklore s’installait dans les fermes pour protéger les habitant-e-s contre la mauvaise fortune. Vers 1840, le Nisse est devenu peu à peu associé à la 

 (ou Yule) et de Noël, prenant le nom de Julenisse. À partir de là, ce brave gnome a changé de fonction et de caractère. Exit la protection des maisons, il apporte désormais les cadeaux aux enfants. Mais gare à vous si vous oubliez de lui laisser un bol de gruau. Pour se venger, il n’hésitera pas à saccager votre maison. Dans le même ordre d’idée, les Italien-ne-s doivent composer avec la sorcière Befana aux environs de Noël. Cette adorable vieille dame fait le tour des maisons pour apporter des sucreries aux enfants sages. Si vous avez commis quelques bêtises, elle vous punira en vous laissant un morceau de charbon.

Si le Nisse et la sorcière Befana prennent à cœur l’éducation des enfants, c’est sans commune mesure avec le chat de Noël. Le Jólakötturinn ou Jólaköttur n’a rien d’un adorable chaton. Ce monstre du folklore islandais rôde dans les campagnes durant les fêtes de fin d’année avec une seule obsession en tête : manger des enfants. Ou plutôt, deux obsessions : il semble particulièrement intéressé par la mode, puisqu’il ne dévore que les enfants n’ayant pas reçu de vêtements neufs avant Noël. Si vous avez été sage, vos parents vous offriront certainement quelques habits à porter pour éviter la mort. Dans le cas contraire, fuyez si vous apercevez un chat affamé. 

Dans le genre retors, le Père Fouettard n’a pas grand-chose à envier au chat de Noël. Cet homme terrifiant ne mange pas les enfants s’étant mal comportés, son truc à lui, c’est plutôt les coups de fouet et le kidnapping. Cela dit, avec les années, et sans doute grâce à l’influence positive de son alter ego Saint Nicolas, il s’est adouci. Il a remisé son martinet et se contente désormais de distribuer des morceaux de charbon, comme la sorcière Befana. Mais ne vous réjouissez pas trop vite, car une autre créature bien plus vicieuse continue à châtier les garnements avec un sens de la mesure égal à zéro. Le Krampus, un être mi-chèvre, mi-démon qui n’est pas sans rappeler le Diable lui-même, terrorise les enfants depuis des siècles. Comme le Père Fouettard dans sa jeunesse, ce démon doté de cornes, de griffes et de crocs traque les enfants ayant commis des bêtises pour les frapper et les fouetter. Quand l’envie lui en prend, il les jette dans son grand sac et les emporte dans son monde.

Si vous avez survécu à votre enfance sans vous attirer les foudres du Krampus ou du chat de Noël, ne croyez pas être en sécurité pour autant. Surtout si vous habitez en Bretagne. Durant le mois de décembre, restez chez vous pour éviter de croiser le chemin de l’Ankou. Ce vieil homme traîne devant nos portes, au cœur de la nuit, sa charrette chargée des âmes des personnes récemment décédées. Pire encore, s’il vous aperçoit sur sa route, soyez assuré-e de mourir dans l’année.

Sous ses airs festifs, Noël est en réalité une période de l’année où les punitions, voire la mort, guettent chacun-e de nous. Vous l’aurez compris, si vous souhaitez survivre une année de plus, ou éviter les morceaux de charbon sous le sapin, vous avez tout intérêt à bien vous comporter. Si vous avez été sage, vous êtes en sécurité, à condition cela dit de ne pas croiser l’Ankou. N’hésitez pas à vous récompenser en vous offrant en cadeau un séjour insolite dans les lieux les plus mystérieux d’Europe et des États-Unis. Les Voyages Extraordinaires vous emmènent dans les destinations paranormales les plus incontournables. 

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Nisse_ (folklore)

https://www.italie-autrement.fr/2020/01/06/3-choses-a-savoir-sur-la-befana-par-litalie-autrement/

https://fr.wikipedia.org/wiki/J%C3%B3lak%C3%B6tturinn

https://fr.wikipedia.org/wiki/Compagnons_de_saint_Nicolas

https://www.nationalgeographic.fr/histoire/qui-est-krampus-la-creature-legendaire-qui-punit-les-enfants

Noël et ses traditions effrayantes

En France, Noël est bien souvent associé aux repas de famille, aux sapins, aux cadeaux et au Père Noël. Mais, même si cette fête est largement présente dans le monde, de nombreux pays disposent de leurs propres traditions, parfois sombres et terrifiantes. Entre fantômes, sorcières, diable et mauvais esprits, le paranormal n’est jamais loin, y compris à Noël.

Si vous attendez avec impatience le Père Noël, sachez que dans d’autres pays, les personnes tremblent de peur à l’approche du réveillon. Tapies dans l’ombre, des sorcières rôdent la nuit du 24 décembre, et gare à celles et ceux qui croisent leur route. En Norvège, d’après la légende, durant la nuit de Noël, les sorcières entrent dans les habitations à la recherche de balais à enfourcher. Il est ainsi coutume de cacher tous les balais de la maison pour éviter de terribles rencontres. Certaines personnes se retrouvent aussi parfois missionnées à faire le guet pour effrayer les sorcières qui s’approcheraient trop des habitations.

En plus des sorcières, les Norvégien-ne-s craignent aussi les esprits malins pendant la période de Noël, et ce ne sont les seul-e-s. En Bulgarie, la personne la plus âgée de la maisonnée est chargée de passer de l’encens dans toutes les pièces pour les purifier et chasser le malheur de l’habitation. En Estonie, de la nourriture est déposée sur la table et un feu de cheminée brûle toute la nuit pour attirer les bons esprits et chasser les mauvais. Cette tradition remonte à une époque où les paysan-ne-s étaient convaincu-e-s que les esprits erraient dehors la nuit de Noël. Ils-elles en profitaient pour observer les étoiles et interroger la glace afin de connaître leur avenir. Au Guatemala, les balais ne sont pas cachés, ils sont activement utilisés pour récupérer toute la poussière des maisons avant Noël. Cette tradition datant du XVIe siècle se nomme La Quema del Diablo. Symboliquement, cela permet de purifier la maison, mais surtout l’âme de ses habitant-e-s. Il est ensuite coutume de se réunir dans le quartier pour dresser un grand tas de poussière commun. Une représentation du diable est déposée au sommet. Les Guatémaltèques y mettent ensuite le feu pour le renvoyer d’où il vient, lui et toutes les mauvaises ondes du coin.

Au Portugal, Noël donne lieu à de nombreuses traditions ancestrales. Par exemple, il est coutume d’allumer de grands feux le soir du réveillon pour symboliser la victoire de la lumière sur les ténèbres. Cette habitude n’est pas sans rappeler 

. Une autre tradition est de placer des couverts supplémentaires à table. Les Portugais-es invitent ainsi les leurs proches décédés à les rejoindre durant ce repas familial. Les restes (du repas) sont également laissés sur la table toute la nuit, pour leur permettre de se restaurer. Les défunt-e-s leur offriraient chance et protection pour les remercier. En Finlande aussi, Noël est l’occasion de penser à ses proches disparu-e-s. Il est coutume de se rendre au cimetière le 24 décembre pour allumer des bougies sur les tombes.

Si Noël est souvent associé à la chrétienté ou aux repas de famille, bien d’autres traditions entourent cette nuit à travers le monde, rappelant ainsi ses origines païennes. Dans de nombreux pays, c’est une période clé pour s’attirer la chance, chasser les mauvais esprits ou rendre hommage aux personnes disparues. Vous aimez les histoires paranormales, le folklore et les légendes effrayantes ? Embarquez pour un court séjour insolite en Europe ou aux États-Unis avec Les Voyages Extraordinaires. Choisissez votre prochaine destination originale et 

https://lepetitjournal.com/valence/communaute/histoire-davent-une-crema-pour-noel-au-guatemala-270036

https://www.laroutedeslangues.com/blog/les-10-traditions-de-noel-les-plus-bizarres-dans-le-monde/

https://www.leglobetrotteur.fr/magazine/les-traditions-de-noel-bizarres-a-travers-le-monde/

https://www.govoyages.com/blog/traditions-noel-dans-le-monde/

https://blog.assimil.com/10-traditions-de-noel-insolites-dans-le-monde/

https://blog.friendlyrentals.com/fr/les-traditions-de-noel-au-portugal/

https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/2014/12/24/les-traditions-de-noel-les-plus-bizarres-dans-le-monde-619100.html

https://www.touteleurope.eu/societe/les-traditions-de-noel-en-europe/

Noël : des traditions paranormales

Les contes de Noël fantomatiques : peur au coin du feu

Bien avant le Père-Noël descendant dans les cheminées et les cadeaux glissés sous le sapin, une autre tradition, bien plus effrayante, connaissait un vrai succès populaire. Les enfants, mais aussi les adultes, se réunissaient lors des nuits froides pour se raconter des histoires de fantômes à la lumière d’une bougie.

Noël et les fantômes : une alliance vieille comme le monde

Noël n’a pas toujours été synonyme de repas de famille interminables et de cadeaux sous le sapin. Des millénaires avant cela, il y avait Yule, le solstice d’hiver, le jour le plus court, et donc le plus sombre. 

, aux alentours du 1er novembre, est souvent décrit comme le moment de l’année où le voile entre les mondes tombe. De nombreuses histoires de fantômes lui sont logiquement associées. Pourtant, même si cela est moins connu, Yule symbolise un autre moment clé dans l’année où la communication avec l’Autre-Monde serait facilitée, peut-être même plus encore que lors de Samhain. De nombreux récits et coutumes fantomatiques trouvaient ainsi, autrefois, naturellement leur place ce jour-là. Notre Noël actuel, situé le 25 décembre, a évolué au fil des siècles, piochant ici et là des traditions pour prendre la forme qu’on lui connaît aujourd’hui. À l’origine, il s’inspirait des 

, située à la même période. Il n’y a donc rien d’étonnant à ce que depuis toujours, Noël soit intimement lié aux histoires de fantômes.

Se raconter des histoires de fantômes, tristes ou terrifiantes, à la bougie lors des nuits glaciales de fin décembre est une coutume ancestrale. Mais elle a véritablement été popularisée à l’époque victorienne. Jusque-là, les contes fantomatiques se racontaient oralement, transmis de génération en génération à l’occasion de ces nuits d’hiver. L’époque victorienne marque l’arrivée de la presse à imprimer industrielle, en 1843. Le livre, autrefois objet d’art ou de luxe, pouvait désormais s’imprimer à grande échelle pour un prix attractif. Les éditeurs avaient un tout nouveau marché à conquérir, et pour cela, quoi de mieux que d’imprimer les histoires fantomatiques si appréciées en décembre ? Ces histoires présentaient de nombreux atouts : elles étaient courtes, populaires et thématiques. En d’autres termes : faciles à vendre en masse !

1843, c’est aussi l’année où Charles Dickens écrivit A Christmas Carol (Un chant de Noël). Il y raconte l’histoire du détestable Ebenezer Scrooge, un horrible pingre visité par les fantômes de Noël du passé, du présent et du futur. Ce livre, publié le 19 décembre 1843 par Chapman & Hall et illustré par John Leech, allait devenir l’un des romans de Noël les plus célèbres au monde. Son succès a inspiré de nombreux auteurs. Par exemple : Le Plafond Hanté et La Chambre Rouge de HG Wells, ou encore Night Terrors : Les histoires de fantômes d’EF Benson, et The Three Imposters d’Arthur Machen. La tradition des contes de Noël fantomatiques s’est ensuite progressivement perdue, peu à peu remplacée par des festivités plus commerciales. L’apport de technologies a aussi joué un rôle : les veillées à la bougie pour s’occuper lors des longues nuits d’hiver glaciales trouvent moins de sens à notre époque.

Scrooge et le fantôme de Marley, © Fred Barnard

Vous souhaitez apportez une touche de paranormal à votre réveillon et renouer avec une tradition ancestrale ? Glissez-vous au coin du feu et lisez, ou racontez à votre entourage, des contes de Noël fantomatiques. Et pour encore plus d’histoires paranormales passionnantes et terrifiantes, 

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Un_chant_de_No%C3%ABl

https://hauntedmontreal.com/fr/blogue-de-montreal-hante-40-les-traditions-du-conte-fantome-de-noel-dans-le-montreal-victorien.html

https://www.coral-dickinson.com/2017/12/07/christmas-ghost-stories-une-tradition-litteraire-de-noel/

Noël : une fête aux origines païennes

Décembre arrive, apportant avec lui ses sapins, ses décorations, ses lumières, ses cadeaux et son Père Noël joufflu poussant des « Oh-oh-oh ». Si aujourd’hui Noël est considéré comme une fête familiale, religieuse ou commerciale, selon les points de vue, il s’agissait à l’origine d’un rite païen.

Dans des temps bien plus anciens, le 21 décembre représentait une date importante dans les cultures nordiques, celle du solstice d’hiver, le jour le plus court de l’année. En d’autres termes : Yule. Cette période charnière regroupait différentes croyances païennes liées notamment à la fertilité et à l’astronomie. Si le 31 octobre voit le voile entre les mondes se réduire et les jours s’allonger, le 21 décembre représente quant à lui la renaissance du soleil après un déclin de plusieurs mois. Les ombres reculent enfin et la lumière revient sur le monde. Cela explique certainement que, des millénaires plus tard, les décorations de Noël soient axées sur ce thème : les guirlandes lumineuses dans le sapin, les bougies sur la table, les éclairages festifs dans les rues, les feux d’artifice dans certaines cultures… Noël est avant tout une fête de lumières. Mais avant d’en arriver 

, Yule fait un détour du côté des Romains.

Nous voilà dans la Rome Antique où les Romains fêtent quant à eux les Saturnales en honneur à Saturne, durant le solstice d’hiver. À cette occasion, ils organisent de grands repas, offrent des figurines aux enfants et décorent les maisons avec du houx et du gui. En parallèle, le christianisme de développe et absorbe peu à peu les traditions locales pour mieux s’imposer. Bien avant Noël, l’empereur romain Aurélien décida, en 274, de fixer au 25 décembre la fête Dies Natalis Solis Invicti (Jour de la naissance du soleil invaincu). Cette date permettait de contenter à la fois les adeptes de Sol Invictus et du culte de Mithra qui était fêté à la même période. Il faudra attendre l’année 336, à Rome, pour que le 25 décembre soit considéré comme une fête chrétienne à part entière. Pour l’occasion, cette date devient, de manière totalement arbitraire, celle de l’anniversaire de Jésus de Nazareth. Cette fête devient populaire : on la fête en Irlande au Ve siècle, en Angleterre au VIIe siècle, en Allemagne au VIIIe siècle, etc. Elle reprend peu à peu toutes les traditions liées aux célébrations précédentes : les lumières de Yule, les arbres décorés des Saturnales et 

Selon certains étymologistes, le mot « Noël » viendrait du latin natalis dies (jour de naissance). D’autres affirment que son origine est gauloise, il viendrait en réalité de noio (nouveau) et hel (soleil). Lors d’un heureux événement, les gaulois-e-s du Moyen Âge s’écriaient ainsi « Noël ». Mais bien avant d’en arriver au papy joufflu vêtu de rouge et connu sous le nom de Père Noël, là encore, le mythe a fait du chemin et puisé dans bien d’autres coutumes locales. Le Père Noël peut être assimilé à une grande variété de légendes à travers le monde. Par exemple, Julénisse, un lutin scandinave. Il est aussi plus largement inspiré du personnage de Saint-Nicolas. Celui-ci est d’ailleurs accompagné du Père Fouettard, chargé de punir les enfants n’ayant pas été assez sages. On retrouve cette dualité avec le Père Noël, lui aussi étant censé apporter des cadeaux aux enfants sages uniquement, un rappel souvent utilisé par de nombreux parents à l’approche des fêtes.

De Yule aux sapins débordant de cadeaux, les fêtes de Noël ont fait du chemin. Si aujourd’hui cette période de l’année est largement associée à la chrétienté et aux enfants, il ne tient qu’à chacun-e de se la réapproprier, peut-être même en érigeant un autel pour fêter la fin des jours sombres et la renaissance du soleil. Cela peut aussi être l’occasion de s’offrir un voyage. Partez à l’aventure sur les traces des mythes et légendes liés au paranormal lors d’un 

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https://www.maregionsud.fr/actualites/detail/la-vraie-histoire-de-noel

https://www.touteleurope.eu/societe/les-origines-de-noel/

Les Black-eyed kids : enfants en détresse ou créatures paranormales ?

Vous êtes seul-e chez vous, tard dans la nuit, lorsque vous entendez des coups frappés à la porte. Des enfants attendent de l’autre côté. « Laissez-nous entrer, s’il vous plaît », insistent-ils. De simples enfants en détresse. Pourtant, un frisson de terreur coule le long de votre échine. Votre raison vous encourage à les aider, votre instinct vous hurle de fuir. Vous hésitez. L’un d’eux relève la tête et vous contemplez alors des yeux plus noirs que l’enfer.

Les Black-eyed kids sont des enfants entre six et seize ans portant pour signes distinctifs des yeux d’un noir de jais et une peau d’une pâleur effrayante. Cette légende urbaine date de 1997, lorsque Brian Bethel, un journaliste, relate sur un forum son étrange rencontre avec des adolescents. Cette histoire se déroule au Texas, lors d’une nuit d’été en 1996. Le journaliste patiente dans sa voiture sur un parking lorsque des coups sont frappés à la vitre. Il tourne la tête et découvre deux garçons d’environ douze ans. Rien de si terrifiant, a priori, pourtant Brian sent la panique le gagner sans en comprendre la raison. Les enfants insistent pour lui parler. Le journaliste, inquiet, consent à descendre sa vitre de quelques centimètres. L’un d’eux lui demande de les déposer chez eux, pour qu’ils aillent récupérer de l’argent pour aller au cinéma. Une requête somme toute banale, mais Brian n’arrive pas à se débarrasser du sentiment de terreur qui grandit en lui. Le garçon insiste, d’une voix assurée, étonnement mature : « Il n’y en a pas pour longtemps. Nous ne sommes que des enfants. Nous ne sommes pas armés… ». Le cœur de Brian bat à toute allure, quelque chose cloche, il le sent. À ce moment-là, les deux enfants baissent la tête vers lui. Brian voit alors leurs yeux noirs comme du charbon, et définitivement pas humains. Le gamin reprend, énervé cette fois : « Laissez-nous entrer. Nous ne pouvons pas entrer dans la voiture sauf si vous nous y autorisez ». Le journaliste panique et s’enfuit. L’histoire aurait pu s’arrêter là, mais Brian décida finalement d’en parler.

Brian ne savait pas à quoi s’attendre en relatant cette rencontre sur Internet. Presque aussitôt, des tas de personnes lui répondent, assurant avoir vécu une histoire similaire. Chaque fois, les événements se ressemblent : des enfants ou adolescents, à la peau pâle et aux yeux noirs, suppliant pour entrer dans leur voiture ou leur maison. Et toujours, ce sentiment d’épouvante impossible à expliquer qui étreint les témoins face à ces gamins. Que veulent-ils ? Cette question reste irrésolue. D’après une femme qui aurait accepté de laisser ces enfants perdus entrer chez elle, la suite de la rencontre aurait été encore plus troublante. Et terrifiante. Selon son récit, une fois les enfants entrés dans sa maison, l’un d’eux aurait déclaré : « Nous sommes ici pour vous prélever ». La femme, paniquée, a trouvé une excuse pour fuir. Lorsqu’elle est revenue, des heures plus tard, avec la police, les enfants avaient disparu, emportant avec eux leur mystérieux dessein. Les témoignages se sont multipliés jusqu’à faire de ce phénomène une véritable légende urbaine. Ces enfants existent-ils réellement ? Pourquoi veulent-ils absolument entrer chez vous ? Si quelqu’un a un jour obéi à ces enfants, il n’en a pas parlé. Ou bien, il n’est plus là pour raconter ce qu’il s’est passé ensuite.

Les États-Unis comptent un grand nombre de légendes urbaines, plus terrifiantes et déroutantes les unes que les autres. Difficile de démêler le vrai du faux dans ces histoires. Dans le doute, réfléchissez bien avant de laisser des enfants entrer chez vous, plus encore si vous contemplez des abysses insondables en plongeant vos yeux dans les leurs. Découvrez d’autres histoires paranormales passionnantes en embarquant pour un circuit insolite avec Les Voyages Extraordinaires. 

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https://en.wikipedia.org/wiki/Black-eyed_children

https://fr.wikipedia.org/wiki/Enfants_aux_yeux_noirs

https://web.archive.org/web/20151208221117/http://www.reporternews.com/news/columnists/brian-bethel/brian-bethel-recounts-his-possible-paranormal-encounter-with-beks-ep-384772497-348207271.html

Les Black-eyed kids : créatures paranormales ?

La Zone 51 : un mystère en plein désert

Au cœur du Nevada, aux États-Unis, une base militaire en plein désert suscite les fantasmes et théories depuis des décennies. La mythique Zone 51, longtemps cachée par le gouvernement américain, abriterait des preuves irréfutables de l’existence des extraterrestres.

Une base militaire secrète en plein désert

Que l’on soit passionné-e d’ufologie ou non, il est tout simplement impossible de n’avoir jamais entendu parler de la Zone 51. On ne calcule plus le nombre de films, séries, romans, chansons et même jeux vidéo faisant référence à cette base militaire secrète. Il faut dire qu’elle a tout pour susciter la curiosité. Mais comment est-elle passée du secret au mythe populaire ? Tout commence dans les années 60. Nous sommes en pleine Guerre froide et des officiers de la CIA se lancent dans la recherche d’une zone tranquille pour mener des opérations. Leur objectif officiel est simplement d’y tester des avions-espions et d’y former des pilotes. Un bout de désert dans le Nevada, loin des yeux indiscrets, est choisi, puis approuvé par le président Eisenhower. Cette base militaire secrète sera alors désignée par l’appellation Zone 51. Le gouvernement niera d’abord son existence, avant de l’admettre, sans toutefois expliquer la nature réelle des opérations qui y sont menées. Il faudra d’ailleurs attendre 2013 et la déclassification de documents de la CIA pour trouver enfin des preuves officielles de son existence. Le silence entourant la Zone 51 devient rapidement une source de théories, parfois farfelues. Celles-ci ne feront que s’amplifier au fil des années, et plus encore à partir de 1980, lorsque des rumeurs selon lesquelles elle abriterait des preuves d’une vie extraterrestre viendront s’y ajouter.

Petit retour en arrière. Nous sommes en 1947 lorsqu’un objet volant non identifié s’écrase à Roswell, au Nouveau-Mexique. Une soucoupe volante, abritant à son bord le corps d’un extraterrestre, aurait été récupérée par l’armée américaine. L’affaire ne fait pas grand bruit à l’époque, hormis parmi les passionné-e-s d’ufologie. Cette histoire aurait pu en rester là, mais en 1980, des journalistes prétendent que cet ovni a bien existé. Selon eux, le vaisseau spatial serait, depuis le crash, dissimulé par l’armée américaine dans une base secrète : la Zone 51. Ces événements n’ont jamais été confirmés par le gouvernement, mais la légende était née. Toute l’attention est rivée sur ce bout de terrain au milieu du désert et les rumeurs enflent, tournant parfois au conspirationnisme pur. La Zone 51 ne serait plus seulement un lieu d’opérations secrètes, elle servirait en réalité de point de rendez-vous entre l’armée américaine et les extraterrestres. Ces derniers sont parmi nous, le doute n’est plus permis, les gouvernements nous mentent. La Zone 51 devient alors la base secrète la moins secrète du monde. Si nul ne peut y pénétrer sans autorisation spéciale, personne n’ignore son existence. Elle s’inscrit peu à peu dans la pop culture. De la série X-Files au jeu vidéo Tomb Raider, les références à cette zone et aux mystères qui s’y dissimulent ne cessent de se multiplier.

La Zone 51 abrite-t-elle réellement des preuves de l’existence des extraterrestres ? Le mystère reste entier, mais la légende perdure. Vous souhaitez vous approcher de cette étrange zone perdue dans le désert du Nevada, et qui sait, apercevoir quelques ovnis et phénomènes paranormaux ? Les Voyages Extraordinaires vous emmènent à proximité de la Zone 51 à l’occasion du circuit insolite La Californie hantée. 

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https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/armee-et-securite/zone-51-le-secret-le-mieux-garde-des-etats-unis_3627621.html

https://www.france24.com/fr/20130817-etats-unis-cia-ecorne-le-mythe-ovnis-zone-51-ovni-nevada-roswell-legende-u2-avion-guerre-froide

https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_de_Roswell

Le Château de Fougeret : le lieu le plus hanté de France

Perdu dans une forêt dense, dominant la vallée de la Vienne du haut de sa falaise, Fougeret semble figé dans le temps. Magnifique, passionnant, effrayant, déroutant, mais surtout réputé hanté, ce château au charme magnétique attire tous les amateur-trice-s de paranormal depuis plusieurs années.

C’est dans la paisible commune rurale de Queaux, dans la Vienne, que se cache le château de Fougeret. Le lieu est mentionné dès 1337 par un dénommé Hélias de Fougerec. Il faudra attendre le 15e siècle pour que la construction du château commence, à l’initiative d’une famille de nobles, les Frotier. Fougeret change de mains et de fonction au fil des ans, et son histoire mouvementée fascine. Sa position privilégiée en hauteur de falaise sera mise à contribution durant la guerre de Cent Ans. Sous l’Ancien Régime, il devient un lieu de haute justice, puis Louis-François Bonaventure s’en empare lors de la Révolution. Nous voilà sous le Second Empire, et ce sont désormais les Robin-Ménard qui prennent possession de Fougeret et se lancent dans sa restauration. Plus tard encore, au 20e siècle, Paul Robain décide d’en faire un lieu de rencontres et de fêtes pour les nobles et les aristocrates. Le château aux mille vies connaîtra ensuite des décennies d’abandon avant d’être racheté par ses propriétaires actuels, les Geffroy. Il est alors classé monument historique.

Le château, quoiqu’en mauvais état, séduit aussitôt les propriétaires par sa beauté envoûtante. Mais dès le début des travaux, ils doivent se rendre à l’évidence : quelque chose rôde à Fougeret, dans ses couloirs, mais aussi dans ses dépendances et son parc de dix hectares. Les doutes se transforment en questionnements, puis en convictions, tant l’ampleur des phénomènes observés est intense. Alice, Félix ou encore Marie, les esprits sont nombreux et se manifestent volontiers à Fougeret. Pour financer la restauration des lieux, les propriétaires font alors un choix assez surprenant dans un contexte français où le paranormal a mauvaise presse. Ils décident d’ouvrir le château à l’occasion de soirées spirites pour partager leur expérience au plus grand nombre. Les amateur-trice-s de frissons affluent de toute la France pour découvrir ce château aux phénomènes paranormaux troublants.

Pour se rendre à Fougeret, les curieux-euses doivent braver leurs appréhensions, s’enfoncer dans les routes de campagne, passer une illustre grille rouillée, puis avancer le long d’un chemin de terre perdu dans les bois. Apparaît alors le château ancestral dans toute sa splendeur déroutante. Le décor pourrait paraître enchanteur, mais même lors des plus belles journées d’été, un quelque chose d’indéfinissable, d’un peu oppressant, flotte dans les airs. De sa chapelle à sa crypte en passant par ses étages et ses bois, vous ne vous sentirez jamais seul-e à Fougeret. Outre la sensation permanente d’être observé-e, voire suivi-e, d’autres phénomènes bien plus déstabilisants auraient été vécus si l’on en croit les témoignages. Apparitions, objets qui bougent tout seuls, voix, ombres… À Fougeret comme rarement ailleurs, le voile entre le monde des vivants et celui des morts semble se distordre jusqu’à disparaître.

Fougeret ne cesse d’émerveiller les amateur-trice-s de paranormal. Il fait partie de ces endroits à connaître absolument lorsque l’on se passionne pour le sujet. Les Voyages Extraordinaires vous emmènent dans d’autres lieux tout aussi fascinants et réputés hantés. Réservez vos places dès à présent pour 

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https://www.fougeret.com/bienvenue-au-chateau-de-fougeret/page/6

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Fougeret

https://web.archive.org/web/20100716025508/http://fougeret.com/historique

Une ombre terrifiante plane au-dessus de la Virginie-Occidentale, une sombre créature ailée, dont les yeux rouges flamboyants rappellent les feux de l’Enfer. Hallucination collective ou mauvais présage ? Une seule certitude, partout où le Mothman est observé, des drames surviennent.

Tout commence la nuit du 15 novembre 1966, à Point Pleasant en Virginie-Occidentale. Roger et Linda Scarberry se trouvent en voiture avec un couple d’ami-e-s, Steve et Mary Malette. Ils font route au milieu de la campagne, discutant joyeusement, lorsqu’une paire d’yeux rouges apparaît au loin devant eux dans la lumière des phares. À mesure que la voiture avance, ils réalisent qu’une créature ailée, absolument terrifiante, se trouve droit devant eux sur la route. Pire encore, elle les fixe. La créature humanoïde s’envole alors et les prend en chasse. Le groupe, paniqué, s’en sort sans dommage et s’empresse de rejoindre le premier poste de police pour rapporter ce qu’ils ont vu. Ce témoignage ne sera que le premier d’une série. Quelques jours après, d’autres personnes, dont des pompiers, relatent des incidents similaires. Tous et toutes décrivent un homme sombre, de taille humaine, avec de larges ailes dans le dos et des yeux rouges effrayants.

Le shérif du comté ne prend pas ces allégations au sérieux. Pour lui, il s’agit certainement d’un oiseau, peut-être plus grand que la normale, pas de quoi créer la panique. Les témoignages continuent d’affluer, jusqu’au 15 décembre où un drame terrible survient. Ce jour-là, le Silver Bridge s’effondre, provoquant la mort de 46 personnes. La créature effrayante, elle, disparaît après cet événement, ajoutant encore à l’aura de mystère qui l’entoure. La légende était née : cette créature annonce les événements tragiques à venir. Elle est baptisée le Mothman (homme-papillon ou homme-phalène, en français). L’histoire aurait pu s’arrêter là, mais de nouveaux témoignages surviennent, à des milliers de kilomètres de là, dans des circonstances similaires. L’oiseau effrayant est par exemple aperçu à Moscou en 1999, juste avant un attentat qui fera un millier de blessé-e-s et 307 décès. Chine, Chili, Moyen-Orient… partout où le Mothman passe, des tragédies surviennent.

Cette étrange créature devient un phénomène, intrigant les expert-e-s en cryptozoologie du monde entier. Les noms d’oiseaux fusent pour déterminer quel animal parfaitement normal ces centaines de personnes ont réellement aperçu. Les théories s’enchaînent et se confrontent, participant à faire du Mothman une véritable légende. La culture populaire s’en empare ensuite. Le Mothman apparaît dans des films, des livres, des chansons et des jeux vidéo. Mulder et Scully discuteront même de son cas lors d’un épisode de la série X-Files. Depuis 2002, Point Pleasant tient un festival annuel très populaire sur le thème de cette insaisissable créature : The Mothman festival. La ville a inauguré une statue à son effigie en 2003, conçue par l’artiste Bob Roach. Preuve du sérieux accordé à cette légende, en vous rendant à Point Pleasant, vous pourrez visiter le Musée et centre de recherches Mothman, inauguré en 2005.

Depuis sa première apparition en 1966, le Mothman fascine autant qu’il inquiète. Si cette créature ne semble pas dangereuse, elle annonce systématiquement des drames épouvantables. Gare à vous si vous l’apercevez dans le ciel. Vous souhaitez en apprendre plus sur les créatures surprenantes qui rôdent dans les immenses contrées américaines ? Les Voyages Extraordinaires vous emmènent dans un circuit inoubliable sur la piste du Bigfoot. 

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Homme-papillon

https://www.rtbf.be/article/lhomme-papillon-connaissez-vous-cette-creature-qui-a-terrifie-une-ville-americaine-dans-les-annees-1960-11085009

Le Mothman : l’oiseau de malheur

Pennhurst asylum : l’asile de la honte

Perdus dans le fin fond de la Pennsylvanie, les immenses bâtiments abandonnés de Pennhurst se dressent dans un silence de mort. Eugénisme, cruauté, surpopulation, traitements inhumains et insalubrité, voilà le cocktail toxique proposé par cet institut. Des milliers de patient-e-s admis-e-s dans cet asile ont subi le pire de ce qu’avait à offrir la médecine psychiatrique des 19e et 20e siècles. Le pire de ce que les hommes pouvaient faire à d’autres humains, aussi. Sans surprise, ce lieu terrifiant résonne aujourd’hui encore des horreurs survenues sur place.

À la fin du 19e siècle, en Pennsylvanie, des responsables de la santé publique s’inquiètent de ce qu’ils estiment être une épidémie de personnes « faibles d’esprit ». Ce terme désigne en réalité tout individu non désirable dans une société parfaite à leurs yeux : troubles psy, handicap, alcoolisme… Leur liste inclut également les personnes SDF, les immigrant-e-s, les orphelin-e-s et les criminel-le-s. Leur solution pour enrayer l’épidémie consiste à les isoler pour les empêcher de se reproduire, leurs gènes ne devant surtout pas se mélanger à la population. En 1903, l’Assemblée législative de Pennsylvanie autorise la construction d’un institut pour les accueillir. L’enfer, ou plutôt le Pennhurst asylum, ouvre ses portes le 23 novembre 1908.

L’horreur absolue, dans l’indifférence la plus totale

Au bout de seulement quatre ans, les bâtiments, pourtant immenses, sont déjà surchargés. La surpopulation n’est pas le pire des problèmes, comme finira par le révéler en 1968 le journaliste Bill Baldini. Lors d’un reportage sur place, il filme l’horreur absolue. Des milliers de pensionnaires sont entassé-e-s dans des conditions insoutenables depuis toujours. Tout le monde à Pennhurst sait, et personne ne s’en préoccupe. À leurs yeux, il ne s’agit là que de « rebus de la société », à peine des êtres humains. Malnutrition, privation de soin, violences, punitions confinant à la torture… rien ne leur est épargné. Les images montrent des enfants sales et affamés errant dans des couloirs insalubres, et des patient-e-s présentant de graves troubles maintenu-e-s dans des conditions indignes. Lorsque le reportage est diffusé à la télévision, c’est le choc. Les Américain-e-s découvrent, effaré-e-s, comment sont traité-e-s les pensionnaires depuis 60 ans. Malgré le scandale, rien n’est fait : aucune mesure, aucune sanction, aucun changement. En 1977, la famille d’une patiente maltraitée, Terry Lee Halderman, intente au nom de tous les pensionnaires de l’institut un procès à l’encontre de Pennhurst. Le juge Raymond J. Broderick donne raison aux patient-e-s. Le 9 décembre 1987, après 79 ans d’abus insoutenables, Pennhurst ferme enfin ses portes. L’institut a accueilli près de 11 000 personnes durant sa période d’activité. Selon les estimations, environ la moitié est décédée sur place.

Un lieu littéralement hanté par le passé

L’institut est qualifié de honte nationale. À sa fermeture, les bâtiments et le terrain sont mis en vente discrètement pour une poignée de dollars. Leur acquéreur a alors l’étonnante surprise de trouver les lieux conservés, personne n’ayant pris la peine de récupérer les meubles et fournitures. Le gouvernement voulait simplement s’en débarrasser au plus vite, sans bruit. Pennhurst a depuis été préservé tel quel, et il est possible de le visiter. Sur place, les visiteur-euse-s sont unanimes : nombre de pensionnaires n’auraient pas tout à fait quitté l’enfer sur terre qu’était Pennhurst. Il obtient vite la réputation d’être l’un des endroits les plus hantés des États-Unis. Apparitions, voix désincarnées, portes s’ouvrant seules, orbes, bruits étranges, pleurs, problèmes électriques en tout genre… Pennhurst continue à terroriser les populations. Au détour des couloirs, dans ce lieu hanté par un passé tragique, vous croiserez peut-être une dame blanche, ou plus inquiétant encore, le fantôme d’une petite fille très en colère.

Pennhurst asylum fait partie de ces lieux qui émeuvent autant qu’ils terrifient. Les innombrables abus subis par ses anciens pensionnaires hantent encore chaque bâtiment de cet institut infernal. Il a depuis inspiré la saison 2 de American Horror Story. Il peut aussi être aperçu dans la saison 4 de Stranger Things. Vous souhaitez visiter la Pennsylvanie et d’autres États chargés d’histoires paranormales ? Les Voyages Extraordinaires vous y conduisent lors du circuit Halloween. 

https://www.mindshadow.fr/hopital-pennhurst/

https://en.wikipedia.org/wiki/Pennhurst_State_School_and_Hospital

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